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Historiettes

Les historiettes d’énergence :

 

Je reprends ici une série de récits basés sur les histoires de mes client.e.s. Bien entendu les noms et situations sont changées. L’idée est de vous donner un aperçu des problématiques traitées dans le cadre d’énergence. Une petite palette des difficultés rencontrées par des personnes tout comme vous….

  1. Aller simple, destination Burn-Out ! (quand je fais passer les besoins des autres avant les miens)

  2. Panique au bureau (quand un lieu n’est plus synonyme de sécurité)

  3. Une furieuse envie de tuer ! (ou comment je gère ma colère cachée derrière ma peur)

  4. Vélophobie ! (ou comment se débarrasser d’une phobie et remonter en selle)

  5. Comme un poignard dans le dos… (ou comment mon corps somatise)

  6. Plutôt avoir mal qu’être mal ! (ou le subconscient préfère la douleur physique à la souffrance émotionnelle)

  7. Bourreau ou victime, l’œuf ou la poule ? (quand ma relation à moi-même influence ma relation aux autres)

  8. Mamy a peur du noir ! (quand les traumatismes d’enfance crée des phobies d’adulte)

  9. Je suis malaaade… (le mal des transports n’est pas une fatalité)

10. La mésestime (quand les traumatismes d’enfance détruisent l’image de soi)

11. On/Je ne m’aime pas (lorsqu’un déficit d’amour des parents induit un déficit d’amour de soi)

12. Jean pleure, Jean rit ! (ou comment les croyances sur soi peuvent se créer)

13. La barrière (quand des événements anodins génèrent des blocages aux conséquences désastreuses)

14. Papa, c’est quand le bonheur ? (lorsqu’un événement positif crée un comportement néfaste)

15. Plein le dos du boulot (ou quand, malgré que l’on contribue à une super association, on somatise de ne pas faire ce pour quoi on est fait)

Camille repose son gsm et soupire. Elle qui pensait avoir fini sa journée relativement tôt voit s’éloigner sa soirée avec son mari et ses enfants. Une mère vient de lui téléphoner pour avoir un rendez-vous d’urgence pour sa petite fille. Et, comme d’habitude, Camille n’a pas su dire non ! Que lui ont-ils dit à S.O.S. Burn Out ? Qu’elle devait prendre soin d’elle avant tout et se respecter ! Mais elle en est bien incapable, elle se laisse toujours bouffer par les autres. Déjà toute petite c’était comme ça : elle se mettait au service des autres et oubliait ses propres besoins.
La femme et sa petite fille viennent de partir. Rien de grave ni de bien important en fin de compte. Camille peut enfin se consacrer au volet administratif de son travail. Elle imagine sa petite famille en train de regarder une comédie à la télé, comme elle aimerait partager plus souvent ces moments plaisirs avec eux. Elle ouvre un nouveau sachet de bonbons et y plonge la main distraitement. Jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Elle sait bien qu’elle compense et, en même temps, elle ne sait pas s’en empêcher. Peut-être serait-ce le moment de prendre rendez-vous avec Thierry. Elle l’a rencontré lors d’une formation, il y a bien 6 mois de ça. Et, en découvrant ce qu’il proposait comme thérapie, elle s’est dit qu’il pourrait bien l’aider. Encore faut-il qu’elle trouve le temps d’aller le voir… Elle retrouve ses coordonnées dans sa tablette et lui envoie un petit courriel.
Camille ne sait pas vraiment comment les choses se sont mises en place. Tout ce qu’elle sait c’est qu’elle a retrouvé le contrôle de sa vie et de ses horaires. Ce soir, elle est libre, elle va passer du temps avec les siens comme chaque semaine à présent. Elle termine de classer ses papiers, repousse le sachet de bonbons à peine entamé, éteint son ordinateur, coupe la lampe et ferme la porte de sa journée professionnelle.

Camille repose son gsm et soupire. Elle qui pensait avoir fini sa journée relativement tôt voit s’éloigner sa soirée avec son mari et ses enfants. Une mère vient de lui téléphoner pour avoir un rendez-vous d’urgence pour sa petite fille. Et, comme d’habitude, Camille n’a pas su dire non ! Que lui ont-ils dit à S.O.S. Burn Out ? Qu’elle devait prendre soin d’elle avant tout et se respecter ! Mais elle en est bien incapable, elle se laisse toujours bouffer par les autres. Déjà toute petite c’était comme ça : elle se mettait au service des autres et oubliait ses propres besoins.
La femme et sa petite fille viennent de partir. Rien de grave ni de bien important en fin de compte. Camille peut enfin se consacrer au volet administratif de son travail. Elle imagine sa petite famille en train de regarder une comédie à la télé, comme elle aimerait partager plus souvent ces moments plaisirs avec eux. Elle ouvre un nouveau sachet de bonbons et y plonge la main distraitement. Jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Elle sait bien qu’elle compense et, en même temps, elle ne sait pas s’en empêcher. Peut-être serait-ce le moment de prendre rendez-vous avec Thierry. Elle l’a rencontré lors d’une formation, il y a bien 6 mois de ça. Et, en découvrant ce qu’il proposait comme thérapie, elle s’est dit qu’il pourrait bien l’aider. Encore faut-il qu’elle trouve le temps d’aller le voir… Elle retrouve ses coordonnées dans sa tablette et lui envoie un petit courriel.
Camille ne sait pas vraiment comment les choses se sont mises en place. Tout ce qu’elle sait c’est qu’elle a retrouvé le contrôle de sa vie et de ses horaires. Ce soir, elle est libre, elle va passer du temps avec les siens comme chaque semaine à présent. Elle termine de classer ses papiers, repousse le sachet de bonbons à peine entamé, éteint son ordinateur, coupe la lampe et ferme la porte de sa journée professionnelle.

Amélie entre dans son bureau et son cœur se met à battre la chamade, une boule incandescente se forme dans son ventre et sa gorge est prise dans un étau. L’angoisse a envahi son corps lorsqu’elle a pénétré dans la pièce. Elle réentend les menaces de l’homme, elle revoit son geste violent, sent ses doigts qui se serrent autour de son cou. Elle a à nouveau peur de mourir. Comme ce jour-là! Et, en même temps, l’homme n’est pas là et elle sait que les gens du service feront barrage si il se pointe. Alors elle se raisonne, elle s’exhorte à aller s’asseoir à sa place et à allumer son ordinateur. Mais le cœur n’y est pas, ses pensées sont ailleurs. Elle se demande combien de temps ça va durer, combien de jours il faudra pour oublier, pour revenir à la normale. Ses yeux se fixent sur la porte d’où le danger peut à nouveau surgir. Elle se dit qu’elle ne peut pas continuer comme ça, qu’elle doit se faire aider.
Son médecin lui prescrit une semaine de repos loin du bureau et, aussi, de prendre contact avec énergence. Ayant testé la méthode, son médecin pense que ça pourrait réellement l’aider. Alors elle met de côté son scepticisme et prend rendez-vous. Qu’a-t-elle à perdre après tout ?
Amélie entre dans son bureau, elle sait, elle se souvient de ce qui s’y est passé. Mais ce n’est plus qu’un souvenir sans émotion, sans sensation et, si l’angoisse parfois pointe le bout de son nez, elle masse son épaule et répète les phrases apaisantes. Un sourire s’épanouit sur ses lèvres et elle entame sa journée de travail avec l’énergie et l’entrain qui la caractérisent si bien.

Julien est perdu dans ses pensées. Soudain, son ami Pierre lui saisit les épaules et lance un « Bouh ! On revient sur terre ! » Le sang de Julien ne fait qu’un tour, il se retourne, les poings serrés et les yeux rageurs. Il a cette colère en lui qui éclate avec violence, il a une furieuse envie de tuer. Pierre recule sous la menace et s’excuse « Euh, désolé mec ! Je sais pas où t’étais là. J’voulais pas te faire peur… » Pierre éructe « On n’a pas idée de surprendre les gens comme ça. Grandis un peu ! » Le fait de crier apaise un peu sa rage. Pierre reprend du poil de la bête, il a eu chaud et, en même temps, il est en colère. Il quitte la pièce en lançant: « On n’a pas idée de réagir comme ça ! Faut te faire soigner, Julien. Un jour tu vas commettre l’irréparable ! »
Le soir, en repensant à l’incident, Julien se dit que ce n’est pas normal de réagir comme il l’a fait, qu’il a en lui cette violence qu’il ne reconnaît pas et n’admet pas, dont il ne connaît pas l’origine. Il a besoin de comprendre mais surtout de se débarrasser de cette pulsion agressive qui explose lorsqu’il se laisse surprendre. Il se souvient d’un gars qui, lors d’une conférence, parlait justement de conditionnements inconscients qui face à une situation, en présence d’un stimulus précis, déclenchent automatiquement des réactions disproportionnées. Peut-être devrait-il aller le voir, tester la méthode qu’il proposait. Sait-on jamais ?
Un matin, deux semaines plus tard, Julien est pressé et stressé, il saisit le cartable de son fils et sort précipitamment de la maison. Où est donc Jean ? Il vont être en retard à l’école. Le gamin sort de derrière le muret comme un diable de sa boîte et hurle « Bououououh ! ». Julien marque un temps d’arrêt et regarde son fils hilare. Un sourire se forme sur son visage : « Tu m’as bien eu canaille ! Fais un peu attention au cœur fragile de ton pauvre père ! » Il prend la main de Jean et ils se hâtent vers la voiture.

Si comme Julien, vous avez des réactions étranges, disproportionnées dans des situations précises, je peux vous aider à vous en débarrasser même si vous n’en connaissez pas l’origine.

Lucas, 6 ans, regarde le vélo de son frère avec envie. Sa trottinette n’est vraiment pas pratique pour jouer et se déplacer à travers le camping, sur ces sentiers pleins de graviers. Si seulement, il avait son vélo !
A la demande de sa maman, son frère lui propose, un peu à contrecœur, d’emprunter son vélo. Mais dès que Lucas s’en approche, il a les jambes en coton, cet énorme poids qui envahit sa poitrine et même les larmes qui lui montent aux yeux. Il a peur, très peur. S’il essaie de rouler à vélo, il sent qu’il va perdre le contrôle, tomber et se faire super mal. Comme la dernière fois, il y a un peu plus d’un an lorsque, dans une descente, son guidon lui a échappé des mains et qu’il s’est retrouvé, il ne sait plus vraiment comment, avec le casque éclaté et une énorme bosse sanguinolente au front. Il avale difficilement sa salive, se détourne, les yeux brillants de larmes, et déclare avec toute la conviction qu’il peut y mettre : « Ton vélo est trop grand, Gilles. Je vais me débrouiller avec ma trottinette ! »
Le lendemain, son papa lui propose un petit exercice d’EFT. Il lui propose d’aider son doudou qu’il a malencontreusement fait tomber de la table et qui s’est fait vraiment très mal. Si mal qu’à présent, il a tellement peur qu’il ne veut absolument plus qu’on le pose sur la table. Après une demi-heure à inventer ensemble la façon de rassurer son doudou et de le libérer de la peur qui l’habitait, Lucas a la subite envie d’essayer le vélo de son frère. Ce jour-là, il fait un tour du camping… Le premier d’une longue série.
Aujourd’hui, il fait beau et, comme d’habitude, Lucas vient avec un beau sourire demander à son papa : « Papa, tu as un peu de temps ? Est-ce qu’on peut faire le grand tour à vélo ? Dis oui s’il te plait ! » Son Papa lui sourit en retour : « OK, mon grand, tu me laisse terminer, j’en ai pour 5 minutes et après on y va ! As-tu demandé à ton frère s’il veut nous accompagner cette fois-ci ? »

Louise est une jeune femme qui a réussi dans la vie. Elle travaille à un poste à responsabilité dans une belle entreprise, elle est belle, intelligente et elle le sait ! Elle sait aussi qu’on lui jalouse son succès professionnel, sa réussite familiale et son mode de vie plutôt aisé. Dans le cadre de la fusion de sa société avec un concurrent, les défis sont nombreux et le patron a naturellement pensé à elle pour mener à bien la refonte des services commerciaux. Évidemment, ça n’a pas raté : les collègues ont commencés à lui envoyer de petites piques, à railler dans son dos, à contester son autorité. Et, pour ne pas arranger les choses, voilà que son fichu mal à l’omoplate s’est réveillé. Elle a beau consulter les kinésithérapeutes et les ostéopathes depuis des années, la douleur ne veut pas décrocher. Tout au plus se rend-t-elle supportable par moments. Elle s’est donc rendue à l’évidence : cette pointe de poignard dans son dos, elle doit vivre avec.
La fusion enfin réalisée, Louise décide de s’accorder un stage d’une semaine de jeûne, histoire de souffler, de se faire du bien et de retrouver de l’énergie. Un soir, elle assiste à un atelier découverte de l’EFT, le conférencier prétend que c’est une méthode efficace pour une série de problèmes dont les douleurs chroniques. Du coup, lorsqu’il propose de revenir le lendemain pour des séances individuelles, elle s’inscrit dans la liste. Qu’a-t-elle à perdre ?
Quatre mois ont passé. Louise occupe toujours le même poste et suscite toujours la jalousie de ses collègues. Elle est encore l’objet des mêmes mesquineries. Et, en même temps, sa vie a changé, elle se sent plus légitime, plus droite dans ses bottes et sa douleur à l’omoplate a complètement disparu.

Non, les douleurs chroniques ne sont pas une fatalité! Elles sont bien souvent un message que le corps envoie au conscient. Encore faut-il y prêter une oreille attentive.

 

Didier se lève, pose le pied sur le sol et, soudain, la douleur remonte dans toute sa jambe. Il descend l’escalier péniblement et est accueilli à la cuisine par le sourire de sa fille Emma. Lorsqu’elle le voit boiter son visage se décompose et elle éclate en sanglots : « Papa, tu m’avais promis, on devait aller à la piscine aujourd’hui ! » Didier est désolé. Emma continue : « c’est déjà la troisième fois ! » Didier le sait bien, il sent intuitivement au fond de lui que c’est l’idée même d’aller à la piscine qui déclenche son mal à la cheville. Et, en même temps, il ne le comprend pas.
Lors d’un stage de jeûne, il assiste à une conférence sur l’EFT donnée par énergence. Et la nuit qui suit, il dort très mal, fait des rêves et se rappelle toutes les fois où il a été exempté d’un examen pas suffisamment préparé, qu’il a évité des retrouvailles avec ses ex-condisciples ou ses amis de club sportif… Si ce n’est pas un conditionnement tel que l’a présenté Thierry, il ne sait pas ce que c’est ! Il se rend compte à présent que chaque fois qu’il risque de ne pas rencontrer ses exigences élevées induites par son père ou d’avoir l’estime de soi en berne du fait de son surpoids et de sa forme physique déficiente, il déclenche des douleurs articulaires ou des tendinites.
Aujourd’hui, c’est dimanche et Didier est à la piscine avec Emma. Il n’est ni plus en forme ni plus mince que les autres fois. Simplement ce dimanche, il n’avait aucune douleur pour lui éviter de se mettre en maillot et de nager. Il sourit la phrase travaillée en état de conscience modifiée avec Thierry vient de lui traverser l’esprit : « J’en ai rien à foutre du regard des autres, c’est l’expérience partagée avec mes amis et ma famille, et elle seule, qui importe ! » Alors, il plonge et éclabousse au passage des râleur du dimanche.

Si ce récit a éveillé quelque chose en vous, ce n’est pas un hasard. C’est que je peux vous aider à vous débarrasser d’un conditionnement gênant.

 

Jeanne pleure dans la salle de bain. Elle est à bout de souffle et de stress : son compagnon l’a à nouveau accablée de reproches. Elle se revoit dans la même posture 5 ans plus tôt lorsqu’elle était encore sous la coupe du père de ses enfants. Un manipulateur, un pervers narcissique comme lui avait déclaré Carine, sa seule amie, son seul soutien. Carine lui a également déclaré hier que le passé se répétait, que Marc était du même acabit.
Jeanne n’en peut plus d’être déchirée entre son rôle de mère et son rôle de compagne. N’a-t-elle pas le droit et même le devoir d’aider sa fille dans ses errances de jeune adulte ? Pourquoi se sent-elle alors coupable vis-à-vis de Marc lorsqu’elle donne à un coup de pouce à Marjo ? Son corps est en souffrance autant que son âme.
Jeanne triture la carte de visite que Carine lui a glissée la veille en la regardant droit dans les yeux : « il m’a fait beaucoup de bien, je pense qu’il peut t’aider aussi. » Mais qu’en pensera Marc ? Il dénigrera certainement, lui dira : « Si tu veux aller chez un charlatan, libre à toi. C’est ton argent après tout… Si, moi qui vit avec toi, je ne suis pas capable de te tirer de ta déprime, comment un parfait étranger le pourrait-il ? » Et, oui c’est son argent, il n’a rien à dire. Après tout, elle est libre. Le mot résonne creux en elle. Elle compose un texto sur son vieux téléphone portable avec l’impression de désobéir à Marc.

Jeanne retrouve Carine au restaurant. Son amie apprécie de la voir à nouveau sourire. Elles parlent longtemps de tout et de rien, l’insouciance fait du bien. Jeanne regarde sa montre, elle fait mine de se lever puis se rassied, un instant elle s’est demandé comment Marc l’accueillerait si elle rentrait plus tard… Peu importe, il est certainement en train de regarder le foot à la télé. Elle l’aime, Marc, il la regarde d’un autre œil depuis quelques temps, depuis qu’elle a repris sa place véritable, qu’elle s’est réaffirmée et qu’elle aide ouvertement Marjorie. Même si c’est vrai qu’il pourrait être plus tendre, tolérant et attentionné, Carine se trompe, Marc n’a pas grand-chose à voir avec son ex-époux !

Changer l’autre ne nous est pas possible. Par contre changer son propre mode de fonctionnement et ainsi changer sa relation à l’autre est parfaitement réalisable.

 

Fanny sent la panique monter en elle. Comment va-t-elle faire lorsque Octave ne sera plus à ses côtés ? Déjà que quand il est là, elle parvient à peine à gérer cette peur profondément enfuie en elle : cette peur du noir, de se retrouver seule dans le noir, même pour dormir. Elle sait bien d’où ça vient… Elle sait que c’est son père, ce salaud, qui avec sa violence et ses coups pervers a créer ces terreurs en elle. Ça et encore bien d’autres dégâts…
Et, en même temps, elle n’a pas le choix, Octave doit être placé en institution, ce n’est plus possible pour elle d’en prendre soin. Elle est dépassée, épuisée… Elle aspire à pouvoir s’occuper d’elle à présent. A plus de 80 ans, il est grand temps ! Et, toujours ces peurs qui l’en empêchent.
Elle va en parler à sa fille, lui demander de l’aide, du soutien. Celle-ci ne peut pas lui refuser ça même si elle a sa vie à mener et qu’elle est déjà bien compliquée comme ça. Elle se demande comment réagiront ses petits enfants lorsqu’ils découvriront que leur Mamy a encore et toujours peur du noir.

Bon, c’est bien pour faire plaisir à sa petite-fille qu’elle a pris ce rendez-vous pour une séance… de quoi encore ? Ah ! Oui. D’EFT. Fanny ne comprend pas bien en quoi cette technique peut l’aider. Elle vit avec ses peurs depuis bientôt 75 ans. Si elle avait pu s’en affranchir ça fait longtemps qu’elle l’aurait fait. Enfin, sait-on jamais ?

Cette nuit, il y a du vent. Fanny entend grincer la porte du garage. Elle ouvre les yeux dans le noir absolu. Son chat s’agite sur l’oreiller d’Octave, le temps orageux et menaçant ne lui plaise pas. Fanny le caresse doucement : « Tout va bien, tu ne dois pas avoir peur ! » Est-ce qu’elle a peur, elle ? Non ! Sa maman la protège, elle lui a transmis ses dons de protection… Fanny sourit à cette idée qui change tout pour elle. Elle n’a plus peur, elle ferme les paupières et, ni le noir, ni les grincements de la porte de garage, ne l’empêchent de se rendormir sereinement.

 

Le week-end se profile à l’horizon et Corine sent son stress monter d’un cran. Elle part en formation à Paris et ça déclenche plein d’angoisses en elle. Non seulement du fait de l’inconnu mais aussi parce qu’elle y va en TGV. Déjà qu’elle est toujours malade dans les transports à grande vitesse, cette fois en plus elle n’a même pas eu l’opportunité d’avoir une place dans le sens de la marche. Bref, elle se prépare à quelques heures de mal au ventre et d’envie de vomir. Il y a plus agréable pour démarrer une formation.

Soudain elle a une idée. Et si ? Si la technique des états de conscience modifiée qu’elle a déjà expérimentée avec Thierry pouvait l’aider, apprendre à son corps à ne pas être malade en transport ? Ce serait génial. En même temps, il ne faut pas rêver ! Et pourquoi pas au fond ? Alors elle prend rendez-vous avec Thierry et co-crée avec lui, dans son corps, la ressource d’être détendue, confiante et tout simplement bien dans le TGV.

Corine rentre chez elle. Sa formation a été formidable et elle est toujours sur un petit nuage. Ce n’est que lorsqu’elle sort du train qu’elle se rend compte qu’elle n’a pas été malade. Déjà à l’aller, elle n’avait rien ressenti des nausées et sueurs froides habituelles. Rien non plus au retour. Elle sourit et se dit que ces états de conscience modifiée sont vraiment formidable. Pourvu que ça tienne dans le temps.

Ce soir, Corine covoiture avec des amies. Elle se trouve à l’arrière et n’aime pas beaucoup la manière de prendre ses virage d’Emilie. Un instant elle panique : je vais être malade c’est sûr ! Et puis non, rien ne vient, elle se détend. Elle sait qu’elle n’est plus malade dans les transports. Elle est même prête à parier que même en avion elle n’aurait plus de nausées. Ceci dit, elle préférerait qu’Emilie adopte une conduite plus souple !

Parfois nous croyons que quelque chose fait partie intégrante de nous et qu’il est impossible de s’en défaire. Mais rien n’est figé, rien n’est inéluctable.

 

Louise sent le rouge monter et enflammer ses joues. Et puis il y a ces picotements dans ses jambes qui se réveillent. Des paroles résonnent dans sa tête « Quand est-ce que tu vas comprendre ? Tu es nulle, tu ne fais rien de bon ! Tu n’est qu’une incapable et tu mérites cet échec !» Ce jugement éclate dans son esprit et elle en ressent toute l’humiliation. Et, en même temps, elle est en colère : ce n’est pas vrai, elle n’est pas comme ça, elle ne mérite pas tous ces ressentis… Néanmoins, c’est ce qui naît en elle dans ces moments de difficultés. Pourtant André n’a rien dit ! Pourtant il n’a fait aucune remarque ni même jeté un regard accusateur… Manque d’estime de soi, voilà ce que son psy lui répéterait pour la centième fois. Très bien et « je fais quoi avec ça ? »

Lorsqu’elle entend que l’EFT aide à restaurer l’estime de soi en travaillant sur l’amour et l’acceptation de soi, Louise se dit qu’elle n’a rien à perdre à essayer et, même si elle risque un échec supplémentaire, elle prend rendez-vous.

Pour la seconde séance, Thierry propose une Réimpression de la Matrice. Plongée dans son fort intérieur, Louise s’est projetée dans son passé, dans cette petite chambre dans laquelle sa mère venait la retrouver. Elle a assisté aux engueulades et aux coups de martinets sur les jambes. Elle y a mis fin aussi. Elle a rassuré la petite Louise, a apaisé ses peurs, a calmé ses douleurs d’humiliation. Et puis elle lui a permis de changer les choses entre elle et sa maman, de clarifier ses sentiments face à tous ces témoins de ses souffrances : son père, ses sœurs, son frères, ses instituteurs, ses camarades… Ceux qui ont entendus ses cris et ses pleurs, ceux qui ont vu ses jambes meurtries, striées d’ecchymoses et qui n’ont rien dit, qui ont fermé les yeux comme si c’était normal, comme si elle le méritait véritablement. Elle a pu changer leur regard, faire appel à leur compassion et du coup changer son propre regard et créer de la compassion pour elle-même. Elle a déconstruit son passé, revisité son histoire, influencé son présent et modifié son futur.

A présent, elle est dans ce futur et elle le vit bien. Elle se juge moins. Elle sait que l’erreur fait partie de la vie et de ses apprentissages…Elle est consciente de ne pas être parfaite et de ne pas pouvoir être conforme aux attentes des autres -d’ailleurs qui le lui demande ? Oui, elle savait déjà tout ça « mentalement » et, en même temps, elle ne l’avait jamais intégré, inscrit au cœur de ses convictions. Est-ce qu’elle s’en veut ? Pas du tout ! Et, dans un sourire, elle se dit qu’enfin elle ne s’autoflagelle plus !

Presque toujours le germe de ce qui nous fait souffrir aujourd’hui s’est créé dans notre enfance. Malheureusement on ne sait pas revenir en arrière… Qui a dit ça ? Avec la Matrix Reimprinting énergence vous ramène à la source du problème pour la purifier ou la tarir.

Janine soupire : encore un jour vide, un jour creux. En même temps était-ce mieux lorsqu’elle allait au travail avec des pieds de plomb. Quand elle était pressée, stressée jusqu’au Burn-Out !

Quatre ans ! Ça va faire quatre ans qu’elle s’enfonce dans cette déprime qui lui coupe toute joie, toute envie. Hier, elle a appris qu’elle était grand-mère pour la troisième fois. Une vague connaissance qu’elle a croisé au marché, l’a félicité : une petite-fille avec un beau prénom. Qu’est-ce qu’elle a dû pensé devant son air ahuri, son absence de sourire ? Cette dame avait appris la naissance par les réseaux sociaux. Et, elle, Janine n’était au courant de rien. Sa fille l’a rayée de sa vie, l’a exclu de son existence même virtuelle.

Seule ! On rentre en automne et les fêtes de fin d’année se profilent déjà l’horizon. Elle sera à nouveau seule pour Noël, la nouvelle année… A quoi bon ? Des idées de suicide reviennent la hanter… Elle a voulu en parler au psychiatre qu’elle doit consulter pour la validation de son Burn-Out. Mais elle n’en a pas eu l’occasion sur le petit quart-heure qu’il daigne lui consacrer. Heureusement que sa médecin est plus disponible, plus à l’écoute.

Parfois, elle a de drôle d’idées sa médecin. Comme de l’envoyer chez ce type qui fait elle ne sait trop quoi. Un truc avec les émotions. Paraît que ça marche. Elle a pris rendez-vous, que risque-t-elle à part une petite déconvenue ?

Deux mois se sont écoulés. Deux mois, deux séances. Janine n’a pas compris ce qu’il lui arrivait. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle n’est plus la même. Elle s’est trouvé un homme sur un site de rencontre. Bon, c’est tout récent et elle ne sait pas très bien jusqu’où ça va la mener. Les rues s’illuminent pour les fêtes de fin d’année et elle trouve ça joli, simplement. Elle a envoyé à sa petite-fille un doudou qu’elle a cousu avec amour. Et elle a reçu en retour une carte avec une photo du bébé et une petite phrase : « Merci, Maman. » Ce n’est pas grand-chose et pourtant ça change tellement de choses.

Le soir, il lui arrive d’évoquer les séances avec Thierry : la façon de nettoyer les émotions dérangeantes ; cette visite à la toute petite Janine, dans son landau qui réclamait l’amour que sa mère lui refusait et puis se moment magnifique où elle sentit dans son corps ce qu’était l’amour de soi… « Je m’aime et je me sens aimée pour qui je suis… » Elle respire à fond et laisse la douce énergie l’envahir.

Une de mes premières clientes, une de mes plus belles réussites… Enfin, c’est la sienne avant tout 😉.

 

Jean sent le feu lui monter aux joues et les larmes affleurer dans ses yeux. Il a envie de se défendre, d’envoyer un argument bien cinglant et, en même temps, il y a cette boule dans la gorge qui étouffe ses mots. Il sait aussi que s’il parle, les larmes vont couler, là, devant ses collègues… Inacceptable !
Le soir, lorsqu’il se repasse la conversation, les récriminations de son chef, cette façon qu’il a de le rabaisser, de le comparer sans cesses à son collègue Guy-le-parfait… la honte revient et les larmes s’expriment librement. La boucle de ses croyances se remet en route « Je suis un faible, je ne sais pas me défendre, je suis trop sensible, je ne suis pas à la hauteur, je n’ai pas ma place dans cette entreprise… » De toute manière, est-il vraiment heureux dans son travail ? Non ! Bien sûr que non ! Mais qu’y faire, il faut bien gagner sa croûte !

Jean a à nouveau 13 ans. La scène se passe lors du conseil de classe de fin de première année secondaire. Tous les yeux sont fixés sur lui alors que son titulaire commente ses résultats. « Pas terrible, Jean. Je pense pouvoir m’exprimer au nom de tous mes collègues. » Et se faisant, il coule un regard appuyé vers le père de Jean, professeur de français dans son école. « Nous sommes extrêmement déçus ! Tu es loin d’être aussi brillant que ta sœur Mathilde. Nous attendions bien mieux de ta part ! Bon, nous allons te laisser passer sans examens cette année. C’est exceptionnel alors ne t’imagine pas que l’année prochaine tu pourras te reposer sur tes lauriers, il faudra travailler, Jean ! » Jean se sent humilié. Qu’est-ce qu’ils croient ? Il a travaillé, il a fait de son mieux, il a tout donné… mais oui, il n’est pas Mathilde, il n’est pas ce genre de génie froid ! Le rouge aux joues, la glotte serrée, les larmes tout arrive en pagaille en lui. Il baisse les yeux en attendant qu’ils passent à l’élève suivant.
Jean ne s’était pas du tout attendu à revivre cet événement. Il avait encore moins pensé que ce conseil de classe était en lien avec ce qu’il vivait encore aujourd’hui, 20 ans plus tard. Et pourtant, nettoyer cet épisode de toutes ses émotions, le rendre neutre et puis surtout prendre conscience qu’il n’avait pas grand-chose à voir avec les attentes déçues de ses professeurs – et de son père aussi bien sûr – était tellement libérateur.

Jean regarde son chef dans les yeux et, la voix affirmée, annonce « Je ne peux pas donner le meilleur de moi-même dans ce travail et dans cette équipe. Alors, voici ma démission ! » Ses collègues n’en reviennent pas et, alors qu’il range ses affaires, Guy vient le trouver : « tu as trouvé autre chose ? » Sur son visage, il y a une véritable inquiétude. Jean lui sourit en faisant non de la tête. Les yeux de Guy s’arrondissent : « que vas-tu faire alors ? » Jean s’illumine et déclare : « ce que je sais faire le mieux, soigner les gens, je commence ma formation d’infirmier demain ! »

Si vous vous sentez enfermé dans votre vie, dans vos croyances, il est temps d’en changer. Je peux vous y aider en débusquant et démontant ces croyances qui vous paralysent.

Quelque part du côté de mes 2 ans et demi, j’ai voulu aller explorer le monde, sortir du jardin de mes parents et partir à l’aventure dans la rue. Mais les choses ne se sont pas passées comme je l’espérais et mon évasion a tourné court. Je me suis retrouvé coincé sur la barrière, une jambe de chaque côté et incapable de me dépêtrer. La frustration fut énorme et, en proie à une colère volcanique, je suis devenu rouge pivoine et me suis mis à me frapper la tête de mon petit point serré.
Mes parents m’ont filmé -au lieu de venir à mon secours- et ce film a été montré lors de nombreuses fêtes de famille pour faire bien rire les invités. Quoi d’étonnant dès lors à mon étiquette de colérique ? Quoi d’étonnant au fait que mes cousins s’amusaient régulièrement à raviver mes sentiments d’humiliation ?
Au début de ma pratique, j’ai pu nettoyer cet événement traumatique avec l’EFT et me libérer des ressentiments envers mes parents et mes cousins nés de cet incident en apparence anodin. Ma colère était légitime.
Et, en même temps, je sentais qu’il restait quelque chose, un blocage profond qui m’handicapait dans ma vie et dans le développement de mon activité. J’ai donc eu recours à la Matrix Reimprinting pour réécrire cet événement et lui conférer le statut de ressource positive. Bien m’en a pris car, dans les semaines qui ont suivi, j’ai enfin osé parler de mon activité, je me suis inscrit à un salon du bien-être et j’ai commencé à vendre des séances. J’ai osé prendre le risque de sortir de mon jardin secret.
En réalité, ce que j’avais au fond de moi depuis tant d’années était la croyance irrationnelle que si je tentais de quitter ma zone de confort (le jardin de mes parents) pour m’exposer, me mettre en danger (la rue), j’allais resté coincé sur le premier obstacle (la barrière) sans possibilité de faire marche arrière ni de me projeter en avant.
En réalisant ça, j’ai enfin compris pourquoi j’étais resté coincé près de 20 ans dans un boulot qui ne m’épanouissait pas: il était une zone de confort, un jardin d’abondance, une prison dorée !

Alors, oui, je suis intimement convaincu qu’il est possible de changer, de s’ouvrir d’autres horizons, de s’affranchir de ses barrières subconscientes, de faire voler les certitudes en éclats..

 

Il était une fois… une famille modeste d’une petite ville de province. Dans cette famille vivait Nora, une petite fille de 5 ans. Son papa travaillait dur et rentrait tard. En fait, il était presque absent de la vie de ses enfants et en particulier de celle de Nora, la petite dernière qui était la plupart du temps couchée lorsqu’il rentrait et encore endormie lorsqu’il partait. Nora était clairement en manque de l’attention de son Papa.
Un beau soir, son Papa rentra plus tôt et appela Nora dans le salon. Il installa la petite fille sur ses genoux et lui caressa les cheveux tendrement. Il prit une grande inspiration et butant sur la plupart des mots, il fit une déclaration d’amour à sa fille: « tu es chère à mon cœur, tu sais; je t’aime, tu es mon bijoux précieux, j’ai tellement d’amour pour toi, ne l’oublie jamais… »
Nora était aux anges: son papa l’aimait, elle était importante à ses yeux ! Quel bonheur, quelle joie. Son petit cœur qui attendait ce moment depuis sa naissance éclatait d’allégresse. Ce moment magique devait absolument être conservé, gravé dans sa mémoire émotionnelle et corporelle !
25 ans plus tard, Nora n’en pouvait plus ! Elle ne parvenait pas à trouver l’homme de sa vie, elle tombait systématiquement sur des alcooliques. En revisitant sa vie, le praticien EFT mit à jour un schéma répétitif. Nora lorsqu’elle était adolescente était de celles qui se retrouvaient en fin de soirée maquée avec les mecs bourrés. Plus tard, c’est dans les bars qu’elle cherchait l’âme sœur… Son dernier compagnon, elle l’avait rencontré à un concert Rock bien arrosé !
Lorsque Nora explora son enfance à la recherche des racines de ce schéma, cette pépite de bonheur vécue avec son Papa lorsqu’elle avait 5 ans lui sauta au visage. Son père, ce grand absent, avait bu ce soir-là, l’alcool avait délié sa langue certes mais avait aussi imbibé son haleine. La mémoire olfactive de Nora avait associé le bonheur à cette odeur, ses nombreuses expériences avaient renforcé sa croyance qu’un homme ne lui dévoilait son amour que lorsqu’il était sous l’emprise de l’alcool,qu’elle ne pouvait se faire aimer que des hommes bourrés !
Le traitement de cet événement positif de son enfance et la prise de conscience associée ont libéré Nora de son conditionnement néfaste.
Aujourd’hui Nora a rencontré un homme à sa mesure: beau, intelligent et fiable. Et sans problème d’alcool. Ils vivront heureux et auront beaucoup d’enfants… Euh ! En fait ça j’en sais rien… Je sais juste que Nora a plus de chance de s’épanouir en couple à présent.

Vous avez peut-être des schémas qui se répètent dans votre vie sans que vous ayez une quelconque emprise dessus. Du moins c’est ce que vous croyez… On peut réécrire le passé ou au moins s’en libérer. Bienvenue dans mon monde.

Christelle est venue me voir parce qu’elle avait mal au dos. J’avais déjà fait une petite intervention de magnétisme pour la soulager momentanément. Mais, à défaut d’avoir travaillé sur la cause, les symptômes sont bien vite revenus.
Christelle avait particulièrement mal aux cervicales et elle mettait ces douleurs en lien avec le fait de rester de nombreuses heures devant un ordinateur ou en réunion.
En discutant avec elle, il apparut qu’elle était sous stress au travail, qu’elle ne se sentait pas capable de faire tout ce qu’elle voulait faire sur son temps de travail, qu’elle se sentait aussi obligée de rester dans cette association, car sans elle « le navire allait couler ». Le plus important était qu’en vérité elle était entrée dans ce projet -qui lui tenait énormément à cœur- avec le désir d’animer des ateliers, de laisser libre cours à son expression créative et à ses envies de transmettre des valeurs aux enfants. En réalité, même si elle tenait énormément au projet de cette entreprise, elle s’était retrouvée enfermée dans un rôle administratif qui ne lui permettait pas de s’épanouir. Elle avait le sentiment de s’être fait avoir. La colère et le sentiment d’injustice grondaient en elle. Toute cette tension, toute cette contrainte entre ses désirs et la réalité se cristallisaient dans son cou. Elle était dépassée, s’obligeait, prenait sur elle de bien faire son boulot sans y trouver la satisfaction… Et en même temps, elle ne se sentait pas à sa place, pas utilisée pour son véritable potentiel. Cette situation la rendait malheureuse et douloureuse.
Notre travail ensemble a consisté à utiliser l’EFT classique pour dégager ses ressentis émotionnels et ses pensées négatives sur elle-même. Puis, de créer un « Trio du choix » pour induire dans son subconscient les décisions de se respecter, d’être librement soi-même, de s’autoriser à être totalement franche et d’oser dire sa vérité. Nous avons ainsi réussi à nettoyer les ressentis face à sa situation professionnelle et à infléchir les perspectives futures.
Ensuite, j’ai aidé Christelle à vivre au plus profond de son corps et de ses énergies, l’état de conscience modifiée: j’exerce le job qui me convient, où je me sens utile et alignée; je suis parfaitement à ma place en animant des ateliers créatifs pour les enfants.
Quelques sensations créées en Christelle à cette occasion: la sérénité, l’épanouissement, me sentir centrée, avoir ma cage thoracique qui s’ouvre et qui rayonne d’énergie, un sourire intérieur, la disponibilité, la légèreté et la joie. (Wahou, ça fait envie, non ?)
Forte de ces nouvelles ressources et cette expérience, Christelle a osé demander et créer des changements dans son travail et, à présent, en parfait accord avec ses aspirations et celles de son employeur, elle anime de nouveaux ateliers et ses tâches administratives se sont vue allégées.
Nul doute qu’à présent elle s’épanouit bien plus et souffre bien moins du dos !